RÉSEAU(X) DE NATURE(S)
Les échanges verticaux

Retrouver la vie dans toutes les dimensions.
D’abord invisible : recréer les conditions des échanges naturels du sous sol à la surface.
Puis visibles : observer les échanges de biodiversité visibles et reconnaissables en surface.
Souvent oublié, le sous-sol est le réservoir de la biodiversité. Tous les échanges microbiens et bactériens sont révélateurs d’une plus ou moins grande biodiversité en surface. Il est temps de penser le sous-sol comme une richesse et de le préserver, comme un axe premier de lutte contre les îlots de chaleurs urbains et pour une plus grande biodiversité.

Source photographique : Frères Séeberger

Réseau(x) de villes
L’infrastructure au coeur de nos modes de vies

Le constat de l’état du foncier et de la raréfaction des ressources est clair. Nous avons besoin de création de logements, de nous déplacer, de nous nourrir sur un seul et même sol. Cette conjoncture de pressions qui font du foncier une denrée de plus en plus rare proche des centres villes pose la question du développement de la ville sur la ville. Nous attachons une grande importance à la gestion des figures devenues banales des infrastructures routières et de leurs mutations. Transformer le regard sur les routes, intégrer leurs figures à l’échelle urbaine et paysagère pour les rendre plus qu’urbanisables = les rendre urbaines et habitables.
Cette action allant de paire avec les économies de sols, de ressources, de déplacements, de partages nécessaires.

Source photographie : Frères Séeberger

Réseau(x) de vie(s)
L’usager au coeur

Les usages comme manière de penser l’espace dans une temporalité évolutive.
Les usagers sont des vecteurs d’activation des lieux. Que ce soit dans l’aménagement d’espaces publics, dans la programmation prospective, dans la définition des matériaux et des lieux, nous pensons qu’il est important de redonner une place permissive à l’usager. Ne pas opposer ville et campagne, ne pas dissocier nature, agriculture et urbanisme pour ouvrir le potentiel des lieux.

Source photographie : Frères Séeberger

Réseau(x) d’échelles
La bonne mesure

Le programme, l’usage et l’échelle d’aménagement sont au coeur du projet.
Les attentes sont subtiles, parfois non énoncées. Nous souhaitons participer à l’élaboration des programmes, des concertations avec les (futurs) acteurs du projet et accompagner les décideurs sur des choix collégiaux.
Définir ensemble la juste mesure des ambitions et des capacités, pour une pertinence optimale.

Source photographie : Frères Séeberger

Réseau(x) urbain(s)
les 3 actes du projet

Pour accompagner la mutation des villes et des modes d’habiter nos territoires, il est nécessaire d’inverser les paradigmes. Du routier aux déplacements raisonnés, de la surdensité à la maîtrise foncière et aux nouveaux modes de construction, de l’accaparement des paysages à la préservation d’un patrimoine commun.
L’inversion des paradigmes peut passer par
une renégociation du lieu, avec les acteurs et les décideurs.
Une vision partagée et concentrée.
Un réaménagement inclusif et mesuré. L’urbanisme de demain est celui de l’habitat, du partage, de la ré-humanisation des territoires par la valorisation des ressources disponibles.

Source photographie : Frères Séeberger