Réseau(x) de villes
L’infrastructure au coeur de nos modes de vies

Le constat de l’état du foncier et de la raréfaction des ressources est clair. Nous avons besoin de création de logements, de nous déplacer, de nous nourrir sur un seul et même sol. Cette conjoncture de pressions qui font du foncier une denrée de plus en plus rare proche des centres villes pose la question du développement de la ville sur la ville. Nous attachons une grande importance à la gestion des figures devenues banales des infrastructures routières et de leurs mutations. Transformer le regard sur les routes, intégrer leurs figures à l’échelle urbaine et paysagère pour les rendre plus qu’urbanisables = les rendre urbaines et habitables.
Cette action allant de paire avec les économies de sols, de ressources, de déplacements, de partages nécessaires.

Source photographie : Frères Séeberger

Réseau(x) de vie(s)
L’usager au coeur

Les usages comme manière de penser l’espace dans une temporalité évolutive.
Les usagers sont des vecteurs d’activation des lieux. Que ce soit dans l’aménagement d’espaces publics, dans la programmation prospective, dans la définition des matériaux et des lieux, nous pensons qu’il est important de redonner une place permissive à l’usager. Ne pas opposer ville et campagne, ne pas dissocier nature, agriculture et urbanisme pour ouvrir le potentiel des lieux.

Source photographie : Frères Séeberger